Et si le terme Capital social n’était pas en lien avec le capital d’une société ?

Libre, engagé, imprévisible Capital Social et vice-versa

Vous en avez assez des
caricatures de l’économie ? Nous aussi !

Capital Social n°3 : La France au travail

Le nouveau magazine qui décrypte l’économie sans à priori

Libre de toute idéologie, engagé dans ses articles pour faire réagir et parfois imprévisible dans ses enquêtes, Capital Social décrypte et explore les réalités économiques et sociales actuelles.

Avant la lecture de cet article, certains d’entre vous, auront probablement le réflexe d’associer le mot de capital social à l’image d’une entreprise. Spontanément, vous viendra alors la définition suivante :

Le capital social d’une entreprise correspond à la somme des apports apportés par les associés ou les actionnaires lors de la création d’une entreprise. C’est un élément indispensable et obligatoire pour toutes les sociétés.

En allant plus loin sur cette thématique, d’autres se poseront peut-être des questions comptables ou juridiques gravitant autour du terme capital social :

  • comment constituer et déposer le capital d’une entreprise ?
  • est-il préférable d’avoir un grand ou petit capital social ?
  • comment fixer le montant du capital social d’une entreprise ?

Comprendre et connaître la notion de capital social découvrir le magazine
Bayard Service / Wasan - stock.adobe.com

Enfin, d’autres auront un large ou vague souvenir de la définition donnée par Pierre Bourdieu…

Et si, dès à présent, vous sortiez des sentiers battus et des idées préconçues et vous rajoutiez un autre sens au nom capital social ?

Voici, notre nouvelle alternative à la définition de Capital Social : il s’agit aussi d’un magazine économique, social et sociétal !

  • Capital Social magazine économique social et sociétal - Rédacteur en chef

    Découvrez en quelques lignes, l’interview qui nous en dit plus sur l’économie, le social et la société et du parti pris voulu par cette nouvelle revue libre de toute idéologie.

    Un dossier capital à découvrir chaque trimestre sous un prismee différent !

    Joseph Thouvenel, quelle conviction vous a poussé à sortir le magazine Capital Social ?

    Des différents métiers que j’ai exercés, du plus humble (homme de ménage) au plus prestigieux (juge sur les marchés financiers) ; des rencontres, professionnelles ou non, que j’ai faites ; de mon expérience de 40 ans de syndicalisme (CFTC) ; Je me suis forgé une conviction : ce sont les Hommes qui font ou défont une société.

    L’économie et le capital sont des outils utiles, qui doivent être au service du développement humain intégral. Ce n’est pas toujours le cas, loin s’en faut.

    Aussi, à quelques-uns, nous avons décidé de nous lancer dans l’aventure de l’information et de la réflexion partagées.

  • En quoi ce magazine est-il différent des autres revues économiques et sociales ?

    Nous traitons en profondeur, dans chaque numéro de Capital Social, un sujet économique et social. Nous le mettons dans sa perspective historique et l’abordons sans à priori, mais avec notre expérience concrète du monde de l’entreprise.

    Parce que nous savons qu’il n’y a pas, d’un côté, d’infâmes exploiteurs, et de l’autre des moutons parfois enragés, mais que la vie de la cité est plus complexe parce que plus humaine, nous donnons aux lecteurs et aux abonnés notre point de vue, notre éclairage, avec conviction et passion.

    Libre, engagé, parfois imprévisible, Capital Social ne propose pas un programme, mais cultive une manière d'être.

  • C’est cette manière d’être qui a impulsé le choix du nom du magazine Capital Social ?

    Exactement, le monde n’est ni binaire, ni systématiquement conflictuel. Le capital et le social sont deux mots qui ne peuvent rester en opposition, ils doivent être associés et prennent tout leur sens cote à cote.

    Ainsi, au sein de la rédaction, nous ne nous reconnaissons ni dans la course effrénée et sans limite au “toujours plus de profit” – antichambre de l’enfer consumériste – ni dans la détestation de classes, succursale de violences et de fanatisme : ni finance folle ni lutte des classes, l’humain !

    Plus simplement, nous croyons qu’il n’y a pas de fatalité, pas de sens de l’histoire, mais que c’est le courage, l’indifférence, la lâcheté des hommes et des femmes qui font ou défont l’histoire. Nous nous revendiquons comme héritiers d’une civilisation qui a su allier progrès technique et développement intellectuel. Nous prétendons que le capital n’est pas le diable, mais une ressource à mettre au service du développement humain intégral.

  • Vous évoquez l’équipe de la rédaction, pouvez-vous nous la présenter ?

    Notre équipe rassemble syndicalistes, patrons, indépendants, fonctionnaires, pères et mères de famille : chacun apporte son expérience, son savoir-faire, son originalité, son caractère et ses espérances. Les collaborations varient en fonction des numéros.

    Je peux cependant vous citer le nom :

    • du rédacteur en chef : Joseph Thouvenel
    • du secrétariat de rédaction : Guillaume de Prémare, Jérôme Besnard, Corinne Binois, Valérie Grigioni, Elisabeth le Jariel des Chatelets
    • de la conception et rédaction graphique : Bayard Service
    • de l'iconographe : Frederica Quaglia

    Et bien d’autres que je remercie chaleureusement et vous invite à découvrir dans notre éditorial à chaque parution.

  • Comment choisissez-vous les dossiers mis en avant trimestriellement ?

    Nous abordons des sujets économiques, sociaux, sociétaux dont les répercussions sur la société en général et le monde du travail en particulier nous semblent significatives. Nous évoquons les conséquences économiques, sociales et sociétales pour chaque dossier. Nous défendons le respect de la valeur travail quel que soit le statut de celui qui l’effectue.

    Dans le premier numéro par exemple, nous avions fait le choix de parler du travail le dimanche. En évoquant, les enjeux du travail du dimanche, jour de sérénité partagée ou jour de l’hyper consommation.

    Dans le second numéro, nous nous penchons sur le dossier brulant des retraites, au-delà du mode de calcul ou du montant que vous toucherez comme retraité, nous posons aussi la question de la solidarité intergénérationnelle et celle des fonds de pensions ? Existe-t-il un réel déficit des caisses ? Etc.

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    À chaque parution, le magazine propose également des chroniques et des chroniqueurs passionnés et passionnants, toujours loin de l’opposition stérile entre “capital” et “social”. Les lecteurs peuvent aussi se laisser porter par les pages Découverte, qui ouvrent une fenêtre sur le monde du travail et celui de la culture.

  • En résumé que retenir du magazine capital social ?

    Capital Social dépasse les caricatures et les postures des uns et des autres, il revendique sa liberté, son engagement et son côté imprévisible !

    Original par son contenu, son ton et ses rédacteurs, original par ses choix :

    • celui de la liberté – nulle force politique ou financière ne nous accompagne
    • celui de l’engagement – impartial dans la description des faits, nous revendiquons l’expression de nos opinions.

    Notre prisme rédactionnel est bercé par notre tasse de thé : l’humain, ni la finance folle ni la tutte des classes. Nous avons à cœurs dans chaque dossier traité de proposer aux lecteurs les mensonges et vérités pour expliquer et proposer des solutions à hauteur d’Homme !

Capital Social - Les éléments importants à retenir :

Un magazine libre, engagé, imprévisible

  • Libre

    La rédaction est indépendante de tout parti politique, de toute idéologie et de tout groupe financier. Derrière Capital Social, ni groupe d’investisseurs, ni milliardaire. Libre et indépendant, nous exprimons nos convictions, avec pour boussole la dignité inaliénable de chaque personne.

  • Engagé

    Nous donnons la parole à des experts, qui préfèrent l’engagement à la fausse impartialité. Nous animons l’indispensable débat démocratique, en posant la question du mensonge et de la vérité, quitte à déranger. Nous, nous appuyons sur des acteurs de terrain et leur expérience. Notre ton parfois ironique pourra irriter, à vous de vous.

  • Imprévisible

    Sortir des caricatures et des schémas tout faits, être là où l’on ne nous attend pas, bousculer les certitudes établies, pour proposer une vision originale. Avoir une lecture différente de l’actualité, la mettre en perspective en allant chercher des informations enfouies, pour vous livrer des faits parfois inattendus.

  • Décrypter

    Une première partie avec la sélection des actus sociales qui dépassent l’immédiateté.
    ➜ Des faits à retenir pour décrypter les enjeux sociaux et économiques.
    ➜ Des chroniques rédigées par des plumes expérimentées et expertes afin d’élargir les points de vue.
    ➜ Une grande rencontre, avec une personnalité du monde économique, social ou sociétal, ayant une approche nouvelle atypique, et pertinente pour la valeur humaine du travail.

  • Explorer

    La partie centrale du magazine traite sur plus de 40 pages d’un sujet dont l’enjeu économique, social et sociétal est déterminant.
    ➜ Un dossier pour explorer toutes les dimensions : historiques, juridiques, économiques, sociales, écologiques, politiques, internationales...
    ➜ Un dossier qui dévoile les mensonges et les vérités. Des interviews et des reportages pour mettre en perspective des faits et des réalités.

  • Découvrir

    La dernière partie ouvre à la rencontre, à la découverte d’une saga d’entreprise familiale, d’une réalité à l’international, d’un auteur original, d’un territoire.
    ➜ Une partie plus culturelle pour s’évader et s’enrichir autrement que par les biens matériels, une petite porte vers la transcendance.